Une étude révèle que publier fréquemment sur les réseaux sociaux nuit à la santé mentale

Une étude révèle que publier fréquemment sur les réseaux sociaux nuit à la santé mentale

Une étude de l’University College London montre que les adultes qui publient régulièrement sur les réseaux sociaux sont plus exposés à des problèmes de santé mentale que ceux qui se contentent de consulter du contenu.

Les chercheurs ont analysé les réponses de plus de 15 000 adultes britanniques âgés de 16 ans et plus. Ils ont examiné leur usage des réseaux sociaux et son impact sur leur bien-être mental.

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Les résultats principaux

Les personnes qui publient chaque jour sur les réseaux sociaux rencontrent plus de difficultés liées à leur santé mentale que celles qui ne publient jamais. En revanche, il n’y a pas de lien entre le fait de simplement regarder du contenu et des problèmes de santé mentale.

Nous avons observé que ceux qui consultent et publient fréquemment sur les réseaux sociaux ont plus de problèmes de santé mentale que ceux qui publient ou consultent rarement.

L’étude n’a pas montré de différence selon le sexe ou l’âge des participants. L’impact sur la santé mentale semble être le même pour tous.

Conseils pour une utilisation plus saine

Les chercheurs suggèrent que pour réduire les effets négatifs des réseaux sociaux, il serait utile de sensibiliser les gens à la façon dont ils les utilisent. Encourager des comportements plus sains pourrait être une solution.

Certaines pratiques, comme publier publiquement ou interagir avec des inconnus, peuvent être plus nuisibles que des usages plus privés, comme discuter avec des amis.

Les chercheurs rappellent aussi que les entreprises de médias sociaux ont un rôle à jouer. Elles doivent protéger les utilisateurs des contenus nuisibles, qui peuvent affecter leur santé mentale. Ils appellent à une meilleure régulation pour un environnement numérique plus sûr.

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